Bonne et heureuse année à vous tous!
Ce mois-ci, ma lentille est attirée par la neige blanche qui couvre tout dans les jardins, sur les trottoirs et dans les rues. Cette photo a été prise en janvier 2017. J'aime beaucoup prendre des photos tout près de ma maison et dans le voisinage. Tout ce qu'on voit change de jour en jour, selon la météo, la saison ou le moment de la journée.
Souvent, durant l'hiver, mon épouse et moi devisons gaiement des traces dans la neige. Parfois, elles racontent des histoires : des lapins qui jouent dans la cour en arrière de la maison, des pistes d'écureuils qui cherchent de la nourriture auprès des grands arbres, les pas de la factrice qui traversent la cour de devant, etc. Nous pouvons aussi laisser libre cours à notre imagination.
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Le Musée canadien pour les droits de la personne fait certainement partie de « mon Winnipeg ». Vous allez probablement voir plusieurs autres photos du musée dans les prochains mois, car je suis souvent attiré par quelque chose que je n'ai jamais vu auparavant.
Le Musée canadien pour les droits de la personne est le seul musée au monde consacré aux droits de la personne « pour tous et pour toutes ». Ce magnifique édifice a ouvert ses portes en 2013. L'architecte Antoine Predock a créé, à l'intérieur, un parcours « ascendant de l'ombre à la lumière ». Ce qui attire ma lentille à l'extérieur, c'est la structure des fenêtres du « nuage », la hauteur de la Tour de l'espoir Israel Asper ou même le côté en acier représentant les montagnes Rocheuses.
Le Musée canadien pour les droits de la personne offre plus de 7 000 heures de contenu. On a l'occasion de marcher de bas en haut sur près d’un kilomètre de rampes revêtues d'albâtre.
À tous mes amis winnipegois, je souhaite un bon début de nouvelle année avec une visite au Musée canadien pour les droits de la personne.
On parle souvent des hivers difficiles de Winnipeg, mais je dois dire que j'aime beaucoup me promener autour de notre belle ville dans la neige. Parfois, à cause de la mobilité réduite en hiver, je me fie à ma « belle et bien-aimée » épouse pour me conduire en ville et m'accompagner quand je marche dans la neige, dans les parcs, le long de nos deux rivières, etc. Tout pour prendre la meilleure photo.
J'ai pris cette photo en janvier 2019,
à mon retour d’une visite chez le chiropraticien. J’ai été chanceux de voir ce « chien de soleil » en conduisant et, aussi vite que j'ai pu, je me suis stationné en arrière de la maison, j'ai sorti mon cellulaire pour capter ce moment sublime avant qu’il ne disparaisse. Ces « chiens de soleil »
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apparaissent seulement quand on a une combinaison de cristaux de neige dans l'air et un soleil brillant. Ce qui veut dire que ce n'est pas tous les jours qu'on peut en voir un. Ce phénomène est d’ailleurs bien expliqué dans la page sur les parhélies de la chronique Manitoba en couleur.
